13 octobre 2007

La chance


A en croire Woody Allen, le monde est composé de bons et de méchants. "Les bons dorment mieux, écrit-il, mais les méchants profitent beaucoup plus de leurs heures de veilles." D'autres divisent le monde entre les chanceux et les malchanceux. La division semble beaucoup plus pénible. Des études prouvent, en effet, que les chanceux ont de plus en plus de chance et les malchanceux de plus en plus de malchance. Pour en savoir plus vous pourriez consulter le livre du Dr Richard Wiseman, The luck factor. C'est Chrisitian Bluemelhüber qui m'en a parlé. Je ne crois pas que ce livre vaille un long détour mais il a connu son succès. Avec une peu de recherche il démontre les vertus du positivisme. Il ne donne, par contre, aucune recette pour devenir scandaleusement riche à l'euromillions. Le livre nous a inspiré l'idée de rechercher quels seraient les facteurs chances qui sévissent en entreprise. Pourquoi certaines ont-elles manifestement plus de chance que d'autres ? La différence sera sans doute culturelle et structurelle. La chance, chez l'individu, est avant tout un sentiment, une attitude. Qu'en sera-til dans une collectivité d'individus qui se veulent différents tout en cherchant la reconnaissance et l'appartenance. Des individus qui se veulent autonomes et ne performent qu'en interdépendance? Si vous avez des idées, des expériences, elles sont les bienvenues. Christian Bluemelhüber enseigne le marketing à la Solvay Business School. En attendant, pour en revenir à Woddy Allen, la chance sourirait-elle plus aux méchants ou en ont-ils simplement plus besoin ? Et si les méchants sont en affaires, pourquoi en ont-ils si peu ? A moins qu'il ne soient moins méchants qu'on ne le croit.
Patrick

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